NOUVEAU SCANDALE ? VOICI LA NOUVELLE MISS FRANCE “INCLUSIVE” ! | GPTV
Description
Le 16 décembre 2024, Nicolas Stoquer dévoilait comment la cérémonie Miss France, autrefois symbole de l’élégance française, s’est transformé en agenda idéologique et vitrine du wokisme, sur GPTV.
Miss France devient une arme
Miss France n’est plus un simple concours de beauté, mais une arme idéologique. L’élection d’Angélique Angarni-Filopon, Miss Martinique de 34 ans, marque un tournant décisif. En abolissant la règle historique de l’âge limite fixé à 24 ans, Miss France s’éloigne de ses racines pour devenir une vitrine du wokisme, où l’inclusivité semble servir un agenda politique globalisé.
En couronnant des candidates hors des normes traditionnelles – après l’androgyne Ève Gilles en 2024, puis une femme de 34 ans – le concours envoie un message clair : les critères classiques sont dépassés au profit de symboles censés refléter une France moderne et ouverte. Mais cette modernité imposée divise. Miss France ne célèbre plus l’élégance française ; elle promeut un soft power culturel, éloignant une partie des Français attachés aux valeurs historiques.
Une trahison des valeurs historiques
Historiquement, Miss France incarnait l’élégance, le charme et la tradition. Aujourd’hui, c’est une tribune militante. L’élection de candidates comme Angélique Angarni-Filopon illustre une rupture : Miss France ne cherche plus à rassembler mais à plaire à une élite culturelle. Sous couvert d
Cette transformation suscite des fractures dans la société. Une partie du public critique un concours dénaturé, accusé de privilégier une propagande politique au détriment de ses fondamentaux. Ce glissement rappelle les Jeux Olympiques de Paris 2024, où des figures comme la boxeuse Imane Khelif sont célébrées davantage pour leur portée politique que pour leurs performances. Miss France adopte une logique similaire, où chaque couronnement devient un signal militant, provoquant rejet et incompréhension.
Le résultat est une division profonde. Ce concours, autrefois fédérateur, reflète désormais les tensions identitaires et culturelles de la France. En sacrifiant ses codes, Miss France se coupe d’une partie de la population, lassée de voir ses traditions mises de côté pour un progressisme perçu comme élitiste.
L’apogée du wokisme
Miss France n’incarne plus la France : elle est devenue le théâtre de l’apogée du wokisme. L’élection d’une Miss de 34 ans illustre la déconstruction des anciennes normes : âge, genre et beauté classique ne sont plus que des outils au service d’un agenda idéologique.
Ce changement traduit une déclaration brutale : la tradition n’a plus sa place. Jadis miroir de l’élégance française, Miss France impose une vision progressiste où les repères historiques sont déconstruits. En abandonnant ses valeurs, le concours renonce à son essence et perd son rôle de rassembleur.
Les conséquences sont lourdes. Une partie des Français se détourne d’un événement perçu comme caricatural. Ce qui était un rendez-vous populaire devient un symbole de division, où la quête d’inclusivité semble nuire à l’identité culturelle de la nation. En imposant une vision progressiste, Miss France fragilise les fondations mêmes de la société française.
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